La crise en Paulmatie explication tirée du Craw Post avril 2014

En ce premier trimestre nos rapports nous confirmes un certain nombre de troubles agittant la partie Est et Moyen-Orientale de la Grande île.
De tout temps cette partie du globe fut en ébullition, tempéré plusieurs fois au cours de l'histoire par l'intervention d'un empire quelconque qui pour des raisons souvent économiques voire nationalistes ramenait à coup de baillonnettes, canons ou autres sabre en fer de Charcot ce à quoi tout le monde aspire : La paix.
Nous nous retrouvons donc une nouvelle fois face un conglomérat de revendications dont les sources, bien souvent nébuleuses, nous paraissent à nous autre occidentaux que des pretextes sans fondement pour piller, raser ou assoir sa puissance.
En ce premier trimestre nous distinguons plusieurs zones de tensions qui inclut en ces heures divers protagonistes. Le dramatique de la chose est que, d'après nos analyses, il en faudrait peu pour que tout ceci transforme notre planète en charnier et mette en péril une nouvelle fois la stabilité fragile de la Grande Ile.
Le danger le plus immédiat provient des provinces chaudes de Paulmatie. On distingue des contrés bien connu ou la provocation est aussi implanté culturellement que l'eau manque au populations. Autrefois épiphénomène, le mal est à présent grandissant et l'on assiste à des lynchages régulier de populations qui se rapproche plus de la Sebastionnerie que de la Paulmatie. L'histoire à fait que la Paulmatie est un melting-pot ou les tensions ont toujours été grandes mais à ce jour on atteint un Paroxisme que Sebastiopolis voit d'un mauvais oeil. Effectivement bien que ces population soit de nationnalité Paulmatienne elles gardent de fortes relations avec leur patrie d'origine que se soit économique ainsi que culturelle. Difficile à comprendre pour nous autre occidentaux mais diablement efficace en terme de commerce et autre partage de ressources et connaissances. Du coup le lynchage régulier et le racisme ambiant des populations de l'ancien Sultanat Mloukis mette cette stabilité plusieurs fois centenaire en péril.