Economie Militaire et forces en présences de La Grande Ile à l’aube de la 3ème Grande Guerre
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Economie Militaire et forces en présences de La Grande Ile à l’aube de la 3ème Grande Guerre
Le marché de l’armement à toujours eu une place de choix dans les économies respectives de tous les pays de la Grande Ile. De tout temps la fierté des nations les a poussés à se dépasser et faire toujours preuve d’ingéniosité face un ennemis probable car chacun connait la longue histoire souvent sanglante de la Grande Ile.
Tout au long des âges on a constaté une variété étonnante de matériel avec toujours pour but ultime de mettre à terre l’ennemi d’un jour ou de toujours.
Pour recentrer le débat sur la période qui nous intéresse, il faut partir de la fin de la Grande Guerre. Effectivement à son issue 5 doctrines et matériel militaire se démarquent. Les Loicous, Guilhetons, Inconnus ainsi que les Sebastiounés et les Louis.
Grand vainqueurs, les Loicous et Guilhetons et leurs alliés imposent des restrictions conséquentes aux forces du Pacte Quadrangulaire, la Louisonnerie sera occupé pendant une décennie et payera lourdement la facture. Cependant l’humiliation de l’adversaire ne fait pas partie de la culture des nations de l’Ouest et les Grands vainqueur régulèrent mais ne bridèrent pas la créativité de leur Auld Ennemy. Effectivement malgré la plaie béante de la Grand Guerre la raison prit le pas sur les sentiments…Sans en oublier aussi l’économie et les affaires !
Louisonnerie : Grande perdante de la Grande Guerre son occupation pendant une décennie l’a bien sur touché dans son orgueil mais à aussi permis à son économie de rapidement revenir à un niveau d’avant-guerre. Son matériel est majoritairement d’origine nationale on y constate cependant qques dérivé et collaborations avec l’industrie Loicous et Guilhetonne ceci découlant directement de ses relations post Grande Guerre plus ou moins forcées ou tout du moins conseillées. Cependant la créativité légendaire et la finesse de la chose militaire Louisounette est durement présente dans son matériel. On ne peut passer à côté du Leopard autant que la version 1 que la version 2 fait partis des meilleurs chars de la Grande Ile (qui marche très bien à l’exportation) issue d’une longue tradition militaire Louis concernant les Char de Bataille ! Le marder ainsi que les hélicoptères Dorniers et autres Bo 105. A ce jour seule son aviation est encore bridée par des accords immuables signés par tous les partis à la fin de la Grande Guerre. C’est le point faible de son armée, une aviation d’ancienne génération issue d’un contrat mirobolant signé avec la Loictranie et la Guilhetranie. Pour conclure, Longtemps équipée de véhicules déclassés de la Loictranie et la Guilhetranie, la Louisonnerie rattrape son retard au début des années 2000 en équipant son armée de véhicules nationaux à la pointe de la modernité. Quant à ses Panzergrenadieren, ils restent comme leurs ancêtres de la Grande Guerre, parmi les unités d'infanterie les plus lourdement armées.
La Sebastionnerie : Acteur Majeur de la Grande guerre, ce grand pays à su rebondir au sorti de sa défaite de manière plutôt exceptionnelle. Certains mette cela sous le coup de la pugnacité de son peuple, d’autres de son orgueil et sa fierté qui dans l’adversité soulèvent les montagnes dont ce pays est dépourvu. A ce jour la Sebastionnerie compte vraisemblablement l’armée la plus puissante de la Grande Ile, pas de part sa technologie (encore que son aviation est d’une qualité outrageante) mais de par son nombre, sa solidité et son homogénéité. La Sebastionnerie s’appuie sur de larges formations de chars lourds soutenues par des hélicoptères d’attaque et des canons lourds. Si leurs chars, handicapés par des optiques plus médiocres que ceux des nations de l’Ouest, ont une portée d’engagement moindre, ils sont mieux blindés et plus rapides.
Aussi il y a deux choses que l’on ne peut passer sous silence : son étroite collaboration avec la Guillemonerie et les Guilounet dont les accords commerciaux militaires concernant les chars et l’aviations sont les plus solides de la Grande Ile. La qualité du Matériel Sebastionnet a convaincu 2 des protagonistes de l’Alliance Quadrangulaire, la Louisonnerie elle, préférant jouer la carte du nationnal et « bridé » par son passé de grand perdant de la Grande Guerre. Nous y reviendront quand nous aborderons ces pays.
Le second élément est l’espionnage industriel, jamais prouvé, dont a été victime la Sebastionnerie part la Paulmatie. Transistion toute trouvée.
La Paulmatie : En vingt ans aucune nation grande Isloise n’a subi une telle mutation et un tel bon en avant militairement parlant. La Paulmatie réussi à développer sa propre industrie militaire. Oscillant entre technologie occidentale et production locale, l’armée Paulmatienne n’a plus guère à envier, dans bien des domaines, à ses homologues occidentaux et Estien, ceci largement dû à un espionnage réussi de la plus belle des manière à la fin des années 90 que la Sebastionnerie n’a jamais reussi à prouver mais n’a jamais non plus réussi à avaler !!! La doctrine militaire est basée sur le nombre et l’engagement total avec un matériel homogène et de qualité honorable.
La Guillemonerie : Longtemps qualifié de « sous-fifre » de la Louisonnerie par les nations de l’Ouest. A l’issue de la Grande Guerre la pression exercée sur la Louisonnerie l’a logiquement fait tourner vers son cousin Sebastionné. Il en résulte nombre de partenariat. Son Armée dispose cependant de ses propres transports de troupes et armements portatifs, ainsi que des variantes nationales de véhicules Sebastiouné. Mais c’est dans le domaine de l’artillerie que leur armée brille, avec des pièces certes chères, mais à la précision et mobilité supérieure. Son aviation de chasse est de la pure importation Seb mais les bombardiers eux son constitutionnellement nationaux.
Guilounet : L’armée de ce petit pays à la fierté connu de tous est grandement issue du cousin Sebastionnet et bien qu’ils ne disposent pas du matériel le plus récent, ils alignent toutefois quelques véhicules qui leurs sont propres et de redoutables troupes d'infanterie spécialisées.
Queilmancha : S’appuie toujours sur la masse de son armée, la plus nombreuse de la grande Ile, pour compenser son retard technologique sur ses adversaires. Toutefois, s’appuyant sur le culte de la personnalité et une haine farouche du voisin Rockrill elle a su s’octroyer de larges moyens militaires lui permettant de compenser une bonne partie de ses faiblesses. L’armée Queilmancha est donc un étonnant mélange de véhicules tout droit sorti de la Grande Guerre et de quelques exemplaires de prototypes modernes de ses voisins Paulmatiou leur grand allié de toujours !
Inconnus : quoique théoriquement neutre, ils penchent à présent lourdement du côté de l’Ouest et n’envisage de réelle menace de personne. En conséquence, son armée, à forte composante blindée, est capable de concentration rapide pour frapper vite et fort les débarquements aéroportés. Toujours dans cette optique de mobilité, elle s’appuie largement sur son armée de l’air nombreuse et efficace pour soutenir et couvrir les opérations au sol, aux dépends de troupes de soutien terrestres peu nombreuses. Son aviation est de haute facture : les Draken et autres Viggen se rendent facilement maitre des cieux et ses blindés, bien que majoritairement issue de l’armée Guilhetonne modifiés, son largement à la hauteur, le plus connu d’entre eux : Le très spécial STRV 103c Son Alliance avec Rockrill pourrait la mettre au premier plan dans le cas d’un conflit avec Queilmancha.
Hervénie : Forte d'une garde nationale deux fois plus nombreuse que son armée régulière, l'armée Hervenous s'articule principalement autour de groupements légers. Son principal adversaire étant les troupes d'assauts aéroportés et amphibies, elle s'appuie sur une infanterie nombreuse, des reconnaissances blindées et armées, et de nombreux véhicules et hélicoptères légers antichars capables d'engager rapidement l'envahisseur. Volontairement non béliqueuse la Hervénie n’a quasiment pas de matériel nationnal et s’appuie sur des char Guilhetons et Louis d’ancienne génération et une aviation Loicous et Hervenous pas de primme jeunesse.
Florinatie : aligne une redoutable infanterie. Spécialisée dans le combat rapproché, celle-ci a pour mission de contenir et infliger un maximum de pertes. Très similaire à l’armée Hervenous elle aligne très peu de matériel national et s’équipe auprès des Loicous Louis et Guilheton tant au niveau de l’aviation que des blindés.
Jean-Marinatie : Pays qui Surprendra toujours par son armée privilégiant des unités légères, fragiles mais puissantes et rapides, favorisant ainsi le mouvement, l'embuscade et les attaques éclairs. Leurs unités de combat plus récentes, à la pointe de la technologie, tels que les chars Leclerc, chasseurs Rafales et hélicoptères de combat Tigres, sont une force à ne pas négliger sur un champ de bataille. La Jean-Marinatie fait tout pour éviter les conflits mais aurai de quoi répondre si elle était obligé de prendre parti !
Rockrill : Grandement constitué avec le crainte du voisin Queilmancha et ses revendications territorialo-belliqueuses l’armée de Rockrill est une armée d’auto-défense et sa philosophie s’en ressent, étant plus orientée vers la contre-offensive limitée, chirurgicale, que des percées en profondeur. Composée en majeure partie de matériel national, elle se soucie moins de doter ses véhicules de blindage lourd que d’optiques de très grande précision. Son alliance avec les Inconnus est sa deuxième grande force face à la menace Jaune.
Julinarie-Mayliserie : Seule armée grande-isloise qui regroupe deux pays avec Queilmancha, sa philosophie est à l’opposé des précédant cités ! Ils n’ont n’ont cependant plus à démontrer leur statut de troupes d’élite dans le domaine du combat d’infanterie. Spécialistes de la contre-insurrection, ils traquent, trouvent et anéantissent l’infanterie ennemie en combat rapproché, ou à l’aide d’une pléthore de moyens anti-personnel allant du napalm à la profusion de véhicules modifiés pour fournir davantage de puissance de feu à l’infanterie. Hélas, leur insularité et expertise dans le domaine du combat en jungle se payent par une faiblesse marquée dans la lutte anti-char. Aucun matériel national mais pléthore d’achat divers et varié auprès de leurs alliés Guilhetons Jean-Marinous voire Louis avec qui ils ont toujours entretenu de bonnes relations.
Guilhetranie : Grand gagnant de la Grande Guerre avec la Loictranie. Les blindés Guihetons sont lourds, fortement blindés, mais aussi très lents. Un bon positionnement de leurs forces avant les affrontements permettra d'en tirer le maximum. L'infanterie en revanche dispose de transports de troupes et de blindés de soutien d'infanterie extrêmement légers et mobiles. Son aviation est d’une très grande qualité à la pointe de la technologie ! Son infanterie n’a plus rien à prouver et la Guilhetis est connu et reconnu dans toutes les écoles militaires de la Grande Ile !
Tout au long des âges on a constaté une variété étonnante de matériel avec toujours pour but ultime de mettre à terre l’ennemi d’un jour ou de toujours.
Pour recentrer le débat sur la période qui nous intéresse, il faut partir de la fin de la Grande Guerre. Effectivement à son issue 5 doctrines et matériel militaire se démarquent. Les Loicous, Guilhetons, Inconnus ainsi que les Sebastiounés et les Louis.
Grand vainqueurs, les Loicous et Guilhetons et leurs alliés imposent des restrictions conséquentes aux forces du Pacte Quadrangulaire, la Louisonnerie sera occupé pendant une décennie et payera lourdement la facture. Cependant l’humiliation de l’adversaire ne fait pas partie de la culture des nations de l’Ouest et les Grands vainqueur régulèrent mais ne bridèrent pas la créativité de leur Auld Ennemy. Effectivement malgré la plaie béante de la Grand Guerre la raison prit le pas sur les sentiments…Sans en oublier aussi l’économie et les affaires !
Louisonnerie : Grande perdante de la Grande Guerre son occupation pendant une décennie l’a bien sur touché dans son orgueil mais à aussi permis à son économie de rapidement revenir à un niveau d’avant-guerre. Son matériel est majoritairement d’origine nationale on y constate cependant qques dérivé et collaborations avec l’industrie Loicous et Guilhetonne ceci découlant directement de ses relations post Grande Guerre plus ou moins forcées ou tout du moins conseillées. Cependant la créativité légendaire et la finesse de la chose militaire Louisounette est durement présente dans son matériel. On ne peut passer à côté du Leopard autant que la version 1 que la version 2 fait partis des meilleurs chars de la Grande Ile (qui marche très bien à l’exportation) issue d’une longue tradition militaire Louis concernant les Char de Bataille ! Le marder ainsi que les hélicoptères Dorniers et autres Bo 105. A ce jour seule son aviation est encore bridée par des accords immuables signés par tous les partis à la fin de la Grande Guerre. C’est le point faible de son armée, une aviation d’ancienne génération issue d’un contrat mirobolant signé avec la Loictranie et la Guilhetranie. Pour conclure, Longtemps équipée de véhicules déclassés de la Loictranie et la Guilhetranie, la Louisonnerie rattrape son retard au début des années 2000 en équipant son armée de véhicules nationaux à la pointe de la modernité. Quant à ses Panzergrenadieren, ils restent comme leurs ancêtres de la Grande Guerre, parmi les unités d'infanterie les plus lourdement armées.
La Sebastionnerie : Acteur Majeur de la Grande guerre, ce grand pays à su rebondir au sorti de sa défaite de manière plutôt exceptionnelle. Certains mette cela sous le coup de la pugnacité de son peuple, d’autres de son orgueil et sa fierté qui dans l’adversité soulèvent les montagnes dont ce pays est dépourvu. A ce jour la Sebastionnerie compte vraisemblablement l’armée la plus puissante de la Grande Ile, pas de part sa technologie (encore que son aviation est d’une qualité outrageante) mais de par son nombre, sa solidité et son homogénéité. La Sebastionnerie s’appuie sur de larges formations de chars lourds soutenues par des hélicoptères d’attaque et des canons lourds. Si leurs chars, handicapés par des optiques plus médiocres que ceux des nations de l’Ouest, ont une portée d’engagement moindre, ils sont mieux blindés et plus rapides.
Aussi il y a deux choses que l’on ne peut passer sous silence : son étroite collaboration avec la Guillemonerie et les Guilounet dont les accords commerciaux militaires concernant les chars et l’aviations sont les plus solides de la Grande Ile. La qualité du Matériel Sebastionnet a convaincu 2 des protagonistes de l’Alliance Quadrangulaire, la Louisonnerie elle, préférant jouer la carte du nationnal et « bridé » par son passé de grand perdant de la Grande Guerre. Nous y reviendront quand nous aborderons ces pays.
Le second élément est l’espionnage industriel, jamais prouvé, dont a été victime la Sebastionnerie part la Paulmatie. Transistion toute trouvée.
La Paulmatie : En vingt ans aucune nation grande Isloise n’a subi une telle mutation et un tel bon en avant militairement parlant. La Paulmatie réussi à développer sa propre industrie militaire. Oscillant entre technologie occidentale et production locale, l’armée Paulmatienne n’a plus guère à envier, dans bien des domaines, à ses homologues occidentaux et Estien, ceci largement dû à un espionnage réussi de la plus belle des manière à la fin des années 90 que la Sebastionnerie n’a jamais reussi à prouver mais n’a jamais non plus réussi à avaler !!! La doctrine militaire est basée sur le nombre et l’engagement total avec un matériel homogène et de qualité honorable.
La Guillemonerie : Longtemps qualifié de « sous-fifre » de la Louisonnerie par les nations de l’Ouest. A l’issue de la Grande Guerre la pression exercée sur la Louisonnerie l’a logiquement fait tourner vers son cousin Sebastionné. Il en résulte nombre de partenariat. Son Armée dispose cependant de ses propres transports de troupes et armements portatifs, ainsi que des variantes nationales de véhicules Sebastiouné. Mais c’est dans le domaine de l’artillerie que leur armée brille, avec des pièces certes chères, mais à la précision et mobilité supérieure. Son aviation de chasse est de la pure importation Seb mais les bombardiers eux son constitutionnellement nationaux.
Guilounet : L’armée de ce petit pays à la fierté connu de tous est grandement issue du cousin Sebastionnet et bien qu’ils ne disposent pas du matériel le plus récent, ils alignent toutefois quelques véhicules qui leurs sont propres et de redoutables troupes d'infanterie spécialisées.
Queilmancha : S’appuie toujours sur la masse de son armée, la plus nombreuse de la grande Ile, pour compenser son retard technologique sur ses adversaires. Toutefois, s’appuyant sur le culte de la personnalité et une haine farouche du voisin Rockrill elle a su s’octroyer de larges moyens militaires lui permettant de compenser une bonne partie de ses faiblesses. L’armée Queilmancha est donc un étonnant mélange de véhicules tout droit sorti de la Grande Guerre et de quelques exemplaires de prototypes modernes de ses voisins Paulmatiou leur grand allié de toujours !
Inconnus : quoique théoriquement neutre, ils penchent à présent lourdement du côté de l’Ouest et n’envisage de réelle menace de personne. En conséquence, son armée, à forte composante blindée, est capable de concentration rapide pour frapper vite et fort les débarquements aéroportés. Toujours dans cette optique de mobilité, elle s’appuie largement sur son armée de l’air nombreuse et efficace pour soutenir et couvrir les opérations au sol, aux dépends de troupes de soutien terrestres peu nombreuses. Son aviation est de haute facture : les Draken et autres Viggen se rendent facilement maitre des cieux et ses blindés, bien que majoritairement issue de l’armée Guilhetonne modifiés, son largement à la hauteur, le plus connu d’entre eux : Le très spécial STRV 103c Son Alliance avec Rockrill pourrait la mettre au premier plan dans le cas d’un conflit avec Queilmancha.
Hervénie : Forte d'une garde nationale deux fois plus nombreuse que son armée régulière, l'armée Hervenous s'articule principalement autour de groupements légers. Son principal adversaire étant les troupes d'assauts aéroportés et amphibies, elle s'appuie sur une infanterie nombreuse, des reconnaissances blindées et armées, et de nombreux véhicules et hélicoptères légers antichars capables d'engager rapidement l'envahisseur. Volontairement non béliqueuse la Hervénie n’a quasiment pas de matériel nationnal et s’appuie sur des char Guilhetons et Louis d’ancienne génération et une aviation Loicous et Hervenous pas de primme jeunesse.
Florinatie : aligne une redoutable infanterie. Spécialisée dans le combat rapproché, celle-ci a pour mission de contenir et infliger un maximum de pertes. Très similaire à l’armée Hervenous elle aligne très peu de matériel national et s’équipe auprès des Loicous Louis et Guilheton tant au niveau de l’aviation que des blindés.
Jean-Marinatie : Pays qui Surprendra toujours par son armée privilégiant des unités légères, fragiles mais puissantes et rapides, favorisant ainsi le mouvement, l'embuscade et les attaques éclairs. Leurs unités de combat plus récentes, à la pointe de la technologie, tels que les chars Leclerc, chasseurs Rafales et hélicoptères de combat Tigres, sont une force à ne pas négliger sur un champ de bataille. La Jean-Marinatie fait tout pour éviter les conflits mais aurai de quoi répondre si elle était obligé de prendre parti !
Rockrill : Grandement constitué avec le crainte du voisin Queilmancha et ses revendications territorialo-belliqueuses l’armée de Rockrill est une armée d’auto-défense et sa philosophie s’en ressent, étant plus orientée vers la contre-offensive limitée, chirurgicale, que des percées en profondeur. Composée en majeure partie de matériel national, elle se soucie moins de doter ses véhicules de blindage lourd que d’optiques de très grande précision. Son alliance avec les Inconnus est sa deuxième grande force face à la menace Jaune.
Julinarie-Mayliserie : Seule armée grande-isloise qui regroupe deux pays avec Queilmancha, sa philosophie est à l’opposé des précédant cités ! Ils n’ont n’ont cependant plus à démontrer leur statut de troupes d’élite dans le domaine du combat d’infanterie. Spécialistes de la contre-insurrection, ils traquent, trouvent et anéantissent l’infanterie ennemie en combat rapproché, ou à l’aide d’une pléthore de moyens anti-personnel allant du napalm à la profusion de véhicules modifiés pour fournir davantage de puissance de feu à l’infanterie. Hélas, leur insularité et expertise dans le domaine du combat en jungle se payent par une faiblesse marquée dans la lutte anti-char. Aucun matériel national mais pléthore d’achat divers et varié auprès de leurs alliés Guilhetons Jean-Marinous voire Louis avec qui ils ont toujours entretenu de bonnes relations.
Guilhetranie : Grand gagnant de la Grande Guerre avec la Loictranie. Les blindés Guihetons sont lourds, fortement blindés, mais aussi très lents. Un bon positionnement de leurs forces avant les affrontements permettra d'en tirer le maximum. L'infanterie en revanche dispose de transports de troupes et de blindés de soutien d'infanterie extrêmement légers et mobiles. Son aviation est d’une très grande qualité à la pointe de la technologie ! Son infanterie n’a plus rien à prouver et la Guilhetis est connu et reconnu dans toutes les écoles militaires de la Grande Ile !
Re: Economie Militaire et forces en présences de La Grande Ile à l’aube de la 3ème Grande Guerre
Loïctranie: Principal vainqueur avec la Guilhetranie du dernier grand conflit, la Loïctranie a toujours placé les choses de la guerre au sommet de ses priorités. Nation incontournable dans la science des combats, son armée est vaste, puissante et à la pointe de la technologie. Tous ses corps d'armée comportent des troupes et du matériel d'élite (les fameux R.T.E.L) et chacune de ses armes est digne d'entrer dans le débat pour revendiquer la première place. Ces tanks, son aviation et surtout son matériel antichar en sont d'ailleurs les meilleurs exemples. Le Longbow tout comme l'ATACMS, c'est le BIEN!
Doomandthepain- Admin
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Date d'inscription : 27/01/2015
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