La Guerre des Deux Montagnes- La Bataille de Thorbjorg -
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La Guerre des Deux Montagnes- La Bataille de Thorbjorg -
Tableau de Bonaventure de Gaulon 1774 - 1838 - La Charge des Hussard de Jeanmarinatie- Galerie des Guerres - Musée du Doigt Pointu de Guilhomopolis
Forces en présence :
Florinatie : 14 200 Hommes
Jean-Marinatie : 18 240 Hommes
Contexte : La guerre est déclaré depuis quelques jours entre la Jean-Marinatie et la Florinatie. Les Royaumes des Montagnes, fier et orgeuilleux ont décidés d’en découdre ! La Guilhetranie, voyant l’occasion d’affaiblir son voisin Loicous vers lequel la Florinatie se tourne depuis peu laisse un droit de passage aux Armée de la Jean Marinatie. La Surprise est totale quand au matin du 18 juin les troupe Bleu Azur et Rouge sans entre en territoire de Florinatie par le couloir des Engoulevent !
Le vent est froid ce matin-là.. La déclaration de Guerre est parvenue sur le Bureau de Nils III Olgersson la veille en son Palais de Sydick et le jour même l’armée de JeanMarinatie a balayé le poste frontière et l’avant-garde de la Florinatie.
Ce sera donc aux alentours de la ville de Thorbjorg que se déroulera la bataille.En ce matin brumeux du mois de Juin, le Généralissime Nils Jenecrainpersson positionne ses troupes :
La Puissante artillerie de Florinatie en retrait du Bourg et le gros de sa cavalerie sur le flanc droit. La Ville de Thorbjorg est investie par les Voltigeurs dont la portée et l’habileté au tir est légendaire !
Les Grenadiers fort de 3 bataillons sont disposés en retrait du bourg prêt à intervenir.
Tout ceci était sans compter sur la filouterie des JeanMarinou, ils délaissent le bourg et concentre leur force sur le flanc Droit. La Canonade lance la bataille, elle entame les rang Jean-Marinou, de son côté les Batterie de Jean-Marinatie font feu mais sans grand succès. Il est là le différentiel en faveur de la Florinatie.
Voyant l’ennemi approcher en force sur son flanc droit, Jenecrainpersson ordre la charge des Hussards qui rentrent dans l’ennemi comme un Guilheton dans sa soute un soir de biture ! C’est la mêlée mais les cavaliers ont peut de place pour manœuvrer, prendre leur élan et le support des voltigeurs depuis les bâtiments de Thorbjorg est modeste !
La JeanMarinatie continu sa pression sur le côté droit, la mêlée est digne des affrontements de l’entre deux âges, les batteries font pleuvoir la mort, ont sabre de tout bord et les uniformes sont maculés de sang, de poudre et de larmes… Les uns crient maman, les autres hurlent et certains fuient déjà.
Jean-Machin de la Motte Fresnet harangue ses troupes depuis « Hortense » sa fidèle Jument « Voilà la bataille que vous avez tant désirée! Désormais la victoire dépend de vous: elle nous est nécessaire ; elle nous donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver, et un prompt retour dans la patrie! »
C’est là que Louis bon point de la Giraudière envoi deux bataillons plein de courage, passant par les bois pour prendre le centre de Thorbjorg et mettre en déroute les batteries placées en son sein. Les Voltigeurs ne peuvent freiner la sauvagerie JeanMarinatienne bien que les morts, de part et d’autre se comptent par milliers !
Enfin, toujours sur ce flanc droit, ou finalement ce joue l’essentiel de la bataille, Jorund Olafgronisson sonne le clairon et fait rentrer ses 3 bataillons de grenadiers d’Elite. La cavalerie est mise en déroute mais la bataille reste indécise ! On peut sentir la tension et l’effroi car la soldatesque se bat pour son pays, son fils, sa mère mais aussi son honneur que diable !
Au centre, car de côté gauche nul n’existe en cette boucherie dont les Keldrills avaient perdus le goût depuis des siècles, Jockobsson fait attaquer ses voltigeurs et poursuit la fuite des Jean-Marinous.
Jusqu’à l’approche du crépuscule le sort de la Bataille sera indécis, finalement après une manœuvre précise et audacieuse le nombre aura raison de la bravoure… Les voltigeurs qui étaient parvenu quasi au centre de commandement de la Jean-Marinatie doivent céder sous les charges, les coups et la multitude.. Il en est de même pour les grenadiers sur le flanc droit. Ils avaient repoussé la ligne mais les coups de boutoir des descendant de Janix étaient sans pitié...
Les résultats de la bataille sont trois à quatre mille prisonniers ; il en arrive à chaque moment ; vingt-cinq à trente drapeaux, trois cents pièces de canon, des magasins immenses de subsistances. Parmi les prisonniers, se trouvent plus de vingt généraux, dont plusieurs lieutenants-généraux, entr'autres le lieutenant-général Schmettau. Le nombre des morts est immense de part et d’autre. On compte qu'il y a plus de vingt trois mille tués ou blessés ; le feld-maréchal Mollendorff a été blessé ; le duc de Joldersen a été tué ; le général Rüchel a été tué ; le prince Henri de Montjoie grièvement blessé. Au dire des déserteurs, des prisonniers et des parlementaires, le désordre et la consternation sont extrêmes dans les débris des armées… Mais la victoire, bien que couteuse... est pour la Jean-Marinatie !
La bataille de Thorbjorg, malgré les pertes importantes subies par la Jean-Marinatie, n’est pas de nature à remettre en cause la stratégie du Général De Bonne Grace ou sa position. Rassembler ses troupes avant d’attaquer reste la meilleure option qui s’offre à lui. Cependant, le moral du général en chef Jean-Marinou est atteint, ce qui se manifeste par l’absence de toute initiative marquante durant les cinq jours suivants, jusqu’à la Bataille de Sydick !
Voyant l’ennemi approcher en force sur son flanc droit, Jenecrainpersson ordre la charge des Hussards qui rentrent dans l’ennemi comme un Guilheton dans sa soute un soir de biture ! C’est la mêlée mais les cavaliers ont peut de place pour manœuvrer, prendre leur élan et le support des voltigeurs depuis les bâtiments de Thorbjorg est modeste !
La JeanMarinatie continu sa pression sur le côté droit, la mêlée est digne des affrontements de l’entre deux âges, les batteries font pleuvoir la mort, ont sabre de tout bord et les uniformes sont maculés de sang, de poudre et de larmes… Les uns crient maman, les autres hurlent et certains fuient déjà.
Jean-Machin de la Motte Fresnet harangue ses troupes depuis « Hortense » sa fidèle Jument « Voilà la bataille que vous avez tant désirée! Désormais la victoire dépend de vous: elle nous est nécessaire ; elle nous donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver, et un prompt retour dans la patrie! »
C’est là que Louis bon point de la Giraudière envoi deux bataillons plein de courage, passant par les bois pour prendre le centre de Thorbjorg et mettre en déroute les batteries placées en son sein. Les Voltigeurs ne peuvent freiner la sauvagerie JeanMarinatienne bien que les morts, de part et d’autre se comptent par milliers !
Enfin, toujours sur ce flanc droit, ou finalement ce joue l’essentiel de la bataille, Jorund Olafgronisson sonne le clairon et fait rentrer ses 3 bataillons de grenadiers d’Elite. La cavalerie est mise en déroute mais la bataille reste indécise ! On peut sentir la tension et l’effroi car la soldatesque se bat pour son pays, son fils, sa mère mais aussi son honneur que diable !
Au centre, car de côté gauche nul n’existe en cette boucherie dont les Keldrills avaient perdus le goût depuis des siècles, Jockobsson fait attaquer ses voltigeurs et poursuit la fuite des Jean-Marinous.
Jusqu’à l’approche du crépuscule le sort de la Bataille sera indécis, finalement après une manœuvre précise et audacieuse le nombre aura raison de la bravoure… Les voltigeurs qui étaient parvenu quasi au centre de commandement de la Jean-Marinatie doivent céder sous les charges, les coups et la multitude.. Il en est de même pour les grenadiers sur le flanc droit. Ils avaient repoussé la ligne mais les coups de boutoir des descendant de Janix étaient sans pitié...
Les résultats de la bataille sont trois à quatre mille prisonniers ; il en arrive à chaque moment ; vingt-cinq à trente drapeaux, trois cents pièces de canon, des magasins immenses de subsistances. Parmi les prisonniers, se trouvent plus de vingt généraux, dont plusieurs lieutenants-généraux, entr'autres le lieutenant-général Schmettau. Le nombre des morts est immense de part et d’autre. On compte qu'il y a plus de vingt trois mille tués ou blessés ; le feld-maréchal Mollendorff a été blessé ; le duc de Joldersen a été tué ; le général Rüchel a été tué ; le prince Henri de Montjoie grièvement blessé. Au dire des déserteurs, des prisonniers et des parlementaires, le désordre et la consternation sont extrêmes dans les débris des armées… Mais la victoire, bien que couteuse... est pour la Jean-Marinatie !
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