La Guerre des deux Montagnes - La Bataille de Sydick
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La Guerre des deux Montagnes - La Bataille de Sydick
Voilà la Bataille Finale qui définira le futur des relations Florinatie-Jeanmarinatie.
En ce matin d'août 1803, l'air est déjà lourd, les températures élevés de la nuit et la tension qui pesait ont contribué à la fatigue des hommes qui allaient s'affronter.
Fort de leur victoire à Thorberg, les Jeanmarinou sont survoltés.
La stratégie est rôdée, il faut séparer les troupes sur les murs des forts. et attaquer de tous les côtés.
bombardement préliminaire du fort
L'affrontement démarre mal, l'artillerie Jeanmarinou n'est pas un équipement de dernière génération et n'a pas la précision de la Loictranie ou de la Guilhetranie. les Boulets de mortier ricochent sur les remparts et ne font que peu de dégât.
L'armée Jeanmarinou se sépare en trois fronts. Nord /est/ouest. Le temps de se déplacer bien que loin du fort les troupes essuient de nombreux coups de canon dont dispose ledit fort.
A l'est, la cavalerie Florinou intercepte une infanterie de ligne. A lexterieur du fort.
Sur plusieurs points, l'assaillant Jeanmarinou réussi à s'infiltrer dans le fort à l aide de cordes et d'échelles.
La batailles est rude mais la Jeanmarinatie essuie de très lourdes pertes.
Le doute s'installe dans le camp de la république royaliste du pays du sud.
Mais c'est sans compter sur le courage des troupes qui veulent mettre à genou cette Florinatie qui n'a pas respecté son engagement.
Les portes sont ouvertes à l'est et le commandant reste a proximité de ses troupes et les harengue.
Malgré tous les efforts des rouges, les bleus tiennent bon sur les remparts et se positionnent judicieusement.
La Jeanmarienatie réussie parfois à prendre le dessus, mais les Florinou défendent becs et ongles leur Capitale.
Sur un dernière espoir le commandant Jeanmarinou pénètre dans l'enceinte et se fait faucher par l'artillerie à bout portant.
La victoire revient à la défense Florinou. La Jeanmarienatie n'a d'autre choix que de replier les quelques troupes encore en vie.
A ce niveau là, ce n'était pas du courage mais de la bêtise selon le commandant en chef des forces armées Jeanmarinou qui critiqua feu le commandant des forces de poursuites de débiteurs en défaut de paiement de la Mollebite.
En ce matin d'août 1803, l'air est déjà lourd, les températures élevés de la nuit et la tension qui pesait ont contribué à la fatigue des hommes qui allaient s'affronter.
Fort de leur victoire à Thorberg, les Jeanmarinou sont survoltés.
La stratégie est rôdée, il faut séparer les troupes sur les murs des forts. et attaquer de tous les côtés.
bombardement préliminaire du fort
L'affrontement démarre mal, l'artillerie Jeanmarinou n'est pas un équipement de dernière génération et n'a pas la précision de la Loictranie ou de la Guilhetranie. les Boulets de mortier ricochent sur les remparts et ne font que peu de dégât.
L'armée Jeanmarinou se sépare en trois fronts. Nord /est/ouest. Le temps de se déplacer bien que loin du fort les troupes essuient de nombreux coups de canon dont dispose ledit fort.
A l'est, la cavalerie Florinou intercepte une infanterie de ligne. A lexterieur du fort.
Sur plusieurs points, l'assaillant Jeanmarinou réussi à s'infiltrer dans le fort à l aide de cordes et d'échelles.
La batailles est rude mais la Jeanmarinatie essuie de très lourdes pertes.
Le doute s'installe dans le camp de la république royaliste du pays du sud.
Mais c'est sans compter sur le courage des troupes qui veulent mettre à genou cette Florinatie qui n'a pas respecté son engagement.
Les portes sont ouvertes à l'est et le commandant reste a proximité de ses troupes et les harengue.
Malgré tous les efforts des rouges, les bleus tiennent bon sur les remparts et se positionnent judicieusement.
La Jeanmarienatie réussie parfois à prendre le dessus, mais les Florinou défendent becs et ongles leur Capitale.
Sur un dernière espoir le commandant Jeanmarinou pénètre dans l'enceinte et se fait faucher par l'artillerie à bout portant.
La victoire revient à la défense Florinou. La Jeanmarienatie n'a d'autre choix que de replier les quelques troupes encore en vie.
A ce niveau là, ce n'était pas du courage mais de la bêtise selon le commandant en chef des forces armées Jeanmarinou qui critiqua feu le commandant des forces de poursuites de débiteurs en défaut de paiement de la Mollebite.
Somua- Messages : 22
Date d'inscription : 27/01/2015
Re: La Guerre des deux Montagnes - La Bataille de Sydick
Le courage des deux Nations restera dans les annales. On se souviendra de la Hargne défensive du Florinou comme du courage inébranlable du Jean-Marinou grimpant les remparts de Sydick !
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