Les tentatives d'Expédition pour la Prise du Maradhja de Kilmancha
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Les tentatives d'Expédition pour la Prise du Maradhja de Kilmancha
Aout 1690, l'Archipel des Kilmancha est globalement coupé du reste du monde depuis plusieurs siècles. Après un age d'Or qui a duré 487 ans et à vu la chute de son Empire divisé en multiples tribus sur les différentes Iles de l'Archipel à l'Aube des Vieux Empire, l'Archipel c'est isolé du monde subissant quelques excursions notamment celle fort connu de Charles Gabriel Morel d'Escures carthographe et explorateur en chef du Royaume de Guilhetranie.
Revenons à ces heures lugubres mais non glorieuses qui précèdent l'Age des Inventions.
L'Archipel est Globalement coupé en deux ou règnent deux entités : Le Maradhja de Kilmancha et son Vassal le Maradhja des Milles Nuits. Plus au sud, sur l'Ile d'Atahualpa une civilisation se développe à part du reste de l'Archipel, ce territoire se présente comme un véritable dédale de cours d'eau divaguant dans des marécages difficiles d'accès ; l'humidité ambiante et la chaleur font de ces terres basses, parsemées d'îles instables, un « enfer vert » que parcourent de nombreux rios, et où éclot, plutôt paradoxalement, une civilisation considérable, celle des Olmèques.
Là n'est pourtant pas le sujet.
En ce mois d'Aout 1690, le Maradhja Mahābhārata va être confronté au plus grand défi qu'est pu connaître son Archipel depuis l’éruption du Krakatoa. Par le plus grand des hasard deux nations constituent une force expéditionnaire au même moment dans le but de conquérir ce coin du monde et les richesses dont les légendes font echos. La plus fameuse est celle des Cités d'Or Le mythe apparaît aux alentours de 1150, lorsque les Almohades conquièrent la ville de Thabor en Rockrill.
Selon la légende, sept évêques auraient alors quitté la ville, non seulement pour sauver leurs vies mais aussi pour mettre à l'abri des reliques religieuses. Ils se seraient réfugiés dans un lieu situé loin dans la Mer Australe et auraient fondé les villes de Cíbola et de Quivira. Ces deux cités seraient devenues très prospères, principalement grâce à la découverte d'or et de pierres précieuses.
Cette idée donna lieu à de nombreuses expéditions sans lendemain ayant pour but la découverte des cités mythiques au cours des siècles suivants.
C'est donc deux armées qui se présentent au même moment mais à des endroits différents sur les côte de Kilmancha. Le Maharadja fait résonner le corps et fort de son armée part pour défier le Sultanat Paulmate venu en force sur la côte nord de l'Ile de Pangkalanbuun
C'est la Bataille du Farrukhsiyâr
L'Armée du Marahdja est balayé par la puissance du Sultanat...
le Maradhja Mahābhārata en personne dirige les opérations... Bien mal lui en a prit...
Sous une pluie battante les Kilmanchiens font pleuvoir leur armes secrète : Le Feu de Masulipattanam ! La recette reste secrète mais on parle de crottin de Chameaux, de sueur de singe mixé avec une Malachite et de la Tourmaline locale broyé en fine particule. C'est la touche finale de jus de Banane qui lui donnerai cette capacité de s'enflammer de la sorte.
Les Hommes du Sultan Youssef Pacha V sont bien surpris de voir les Kilmanchiens maitriser aussi l'art de la Canonade.
La défaite sera sans appel et l'armée s'enfuira comme une pucelle face à un Tison bien chaud !
5 jours plus tard, le Maharadja est de retour en sa Capitale de Situmorang et fait appel à son Généralissime Siddhartha Gautama dit Shakyamuni (« sage des Śākyas »). Il prends en main les opérations et constitue une force pour repousser le Sultanat à la mer. Il sera chose faite lors de la Bataille de Balaji Baji Rao qui vit l'éclatante victoire du Maharadja sur le Sultanat. Victoire qui résonnât comme un coup de tonnerre sur la Grande Ile !
Le Feu de Masulipattanam en action
qui déverse sa rage dévastatrice sur les troupes Paulmates. Son pouvoir de dévastation est terrible et il joua énormément sur le moral de l'Armée continentale.
Les Cavaliers Zamindars renversent la bataille à l'issu d'une charge héroique !
L'Elite du Maradhja : Les Sikth ! Infanterie redoutable qui donna bien du mal aux fameux Janissaires !
Il en était fini de la tentative du Sultanat qui reparti avec ses blessés sur le continent.
Sans avoir le temps de reprendre ses esprits, sur la côte Ouest, les Guillemons débarquent une force expéditionnaire et plante le Drapeau Vert et Sang ! C'est ainsi que Siddhartha Gautama passa de Généralissime à légende vivante ! La Bataille de chhatrapati vit la première défaite d'une nation civilisée de race Blanche face à des Hommes de couleur ! Le Choc fit 4 fois le tour de la Grande Ile et encore de nos jours certains ne croient pas à cette version du récit :
Le Maradhja a de nouveau fait le déplacement.
Faire tant de kilomètres pour mourir à l'autre bout du monde ...
La Cavalerie lourde de Iliens découpe littéralement les cavaliers léger de Guillemonerie.
La mêlée est coriace !
Ce sont eux les Empereurs du champs de Bataille et c'est sur cette plaine qu'ils acquiert leurs lettre de Noblesse, devenant redouté de toute la Grande Ile !
Puis vint le moment le plus mythique de toute la bataille, on avait pas vu pareille manœuvre depuis les Guerres Puniques entre l'Empire de Guilhetranie et l'Empire Maylie !
LA CHARGE DE ÉLÉPHANT DE GUERRE ! Seuls les mâles, plus forts et plus agressifs, étaient capturés jeunes et apprivoisés « pour en faire de véritables chars d'assaut vivants » : il ne s'agit pas d'une domestication car ils ne naissaient pas en captivité. Plus grand animal terrestre, mesurant en moyenne trois mètres au garrot et pesant jusqu'à cinq tonnes (pour l'éléphant de Kilmancha), il sert souvent à terroriser les troupes et les chevaux de l'adversaire. Mais là que nenni ! C'est bien une charge dévastatrice qui ravage la ligne Guillemone !
La défaite est sans appel, il n'y aura pas de quartier et tous les prisonniers seront émasculés et éventrés, aucune ne retrouvera les chaumières de Guillemonerie. Cela aura bon ton d'alimenter la légende.
De nos jours encore on parle des Batailles de la première tentative de conquête de Kilmancha comme l'un des plus grand fiasco militaire de tous les temps !
Revenons à ces heures lugubres mais non glorieuses qui précèdent l'Age des Inventions.
L'Archipel est Globalement coupé en deux ou règnent deux entités : Le Maradhja de Kilmancha et son Vassal le Maradhja des Milles Nuits. Plus au sud, sur l'Ile d'Atahualpa une civilisation se développe à part du reste de l'Archipel, ce territoire se présente comme un véritable dédale de cours d'eau divaguant dans des marécages difficiles d'accès ; l'humidité ambiante et la chaleur font de ces terres basses, parsemées d'îles instables, un « enfer vert » que parcourent de nombreux rios, et où éclot, plutôt paradoxalement, une civilisation considérable, celle des Olmèques.
Là n'est pourtant pas le sujet.
En ce mois d'Aout 1690, le Maradhja Mahābhārata va être confronté au plus grand défi qu'est pu connaître son Archipel depuis l’éruption du Krakatoa. Par le plus grand des hasard deux nations constituent une force expéditionnaire au même moment dans le but de conquérir ce coin du monde et les richesses dont les légendes font echos. La plus fameuse est celle des Cités d'Or Le mythe apparaît aux alentours de 1150, lorsque les Almohades conquièrent la ville de Thabor en Rockrill.
Selon la légende, sept évêques auraient alors quitté la ville, non seulement pour sauver leurs vies mais aussi pour mettre à l'abri des reliques religieuses. Ils se seraient réfugiés dans un lieu situé loin dans la Mer Australe et auraient fondé les villes de Cíbola et de Quivira. Ces deux cités seraient devenues très prospères, principalement grâce à la découverte d'or et de pierres précieuses.
Cette idée donna lieu à de nombreuses expéditions sans lendemain ayant pour but la découverte des cités mythiques au cours des siècles suivants.
C'est donc deux armées qui se présentent au même moment mais à des endroits différents sur les côte de Kilmancha. Le Maharadja fait résonner le corps et fort de son armée part pour défier le Sultanat Paulmate venu en force sur la côte nord de l'Ile de Pangkalanbuun
C'est la Bataille du Farrukhsiyâr
L'Armée du Marahdja est balayé par la puissance du Sultanat...
le Maradhja Mahābhārata en personne dirige les opérations... Bien mal lui en a prit...
Sous une pluie battante les Kilmanchiens font pleuvoir leur armes secrète : Le Feu de Masulipattanam ! La recette reste secrète mais on parle de crottin de Chameaux, de sueur de singe mixé avec une Malachite et de la Tourmaline locale broyé en fine particule. C'est la touche finale de jus de Banane qui lui donnerai cette capacité de s'enflammer de la sorte.
Les Hommes du Sultan Youssef Pacha V sont bien surpris de voir les Kilmanchiens maitriser aussi l'art de la Canonade.
La défaite sera sans appel et l'armée s'enfuira comme une pucelle face à un Tison bien chaud !
5 jours plus tard, le Maharadja est de retour en sa Capitale de Situmorang et fait appel à son Généralissime Siddhartha Gautama dit Shakyamuni (« sage des Śākyas »). Il prends en main les opérations et constitue une force pour repousser le Sultanat à la mer. Il sera chose faite lors de la Bataille de Balaji Baji Rao qui vit l'éclatante victoire du Maharadja sur le Sultanat. Victoire qui résonnât comme un coup de tonnerre sur la Grande Ile !
Le Feu de Masulipattanam en action
qui déverse sa rage dévastatrice sur les troupes Paulmates. Son pouvoir de dévastation est terrible et il joua énormément sur le moral de l'Armée continentale.
Les Cavaliers Zamindars renversent la bataille à l'issu d'une charge héroique !
L'Elite du Maradhja : Les Sikth ! Infanterie redoutable qui donna bien du mal aux fameux Janissaires !
Il en était fini de la tentative du Sultanat qui reparti avec ses blessés sur le continent.
Sans avoir le temps de reprendre ses esprits, sur la côte Ouest, les Guillemons débarquent une force expéditionnaire et plante le Drapeau Vert et Sang ! C'est ainsi que Siddhartha Gautama passa de Généralissime à légende vivante ! La Bataille de chhatrapati vit la première défaite d'une nation civilisée de race Blanche face à des Hommes de couleur ! Le Choc fit 4 fois le tour de la Grande Ile et encore de nos jours certains ne croient pas à cette version du récit :
Le Maradhja a de nouveau fait le déplacement.
Faire tant de kilomètres pour mourir à l'autre bout du monde ...
La Cavalerie lourde de Iliens découpe littéralement les cavaliers léger de Guillemonerie.
La mêlée est coriace !
Ce sont eux les Empereurs du champs de Bataille et c'est sur cette plaine qu'ils acquiert leurs lettre de Noblesse, devenant redouté de toute la Grande Ile !
Puis vint le moment le plus mythique de toute la bataille, on avait pas vu pareille manœuvre depuis les Guerres Puniques entre l'Empire de Guilhetranie et l'Empire Maylie !
LA CHARGE DE ÉLÉPHANT DE GUERRE ! Seuls les mâles, plus forts et plus agressifs, étaient capturés jeunes et apprivoisés « pour en faire de véritables chars d'assaut vivants » : il ne s'agit pas d'une domestication car ils ne naissaient pas en captivité. Plus grand animal terrestre, mesurant en moyenne trois mètres au garrot et pesant jusqu'à cinq tonnes (pour l'éléphant de Kilmancha), il sert souvent à terroriser les troupes et les chevaux de l'adversaire. Mais là que nenni ! C'est bien une charge dévastatrice qui ravage la ligne Guillemone !
La défaite est sans appel, il n'y aura pas de quartier et tous les prisonniers seront émasculés et éventrés, aucune ne retrouvera les chaumières de Guillemonerie. Cela aura bon ton d'alimenter la légende.
De nos jours encore on parle des Batailles de la première tentative de conquête de Kilmancha comme l'un des plus grand fiasco militaire de tous les temps !
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